Où en sommes-nous de ce film, de cet épisode toujours émouvant du renouveau de la nature ?
Les arbustes portent leurs baies ou fruits, pas encore mûrs. Quant aux oiseaux : les couvées de l’année sont déjà émancipées, pour la plupart, mais je croise aussi quelques derniers-nés qui quémandent encore la nourriture à leurs parents…
L’absence des hommes, confinés ce printemps, a t-elle changé quelque chose, pour nos amis à plumes, dans ce périmètre que j’arpente d’habitude ?
Difficile à estimer. Ils ne semblent pas plus nombreux, ni plus ou moins craintifs que d’ordinaire. J’ai juste remarqué n’avoir ni vu, ni entendu, de Rossignols philomèles, lors de mes dernières sorties photo…